Rapport environnement de l’aviation civile

Voici le lien pour le consulter :

L’année 2024 a été placée plus que jamais sous le signe des actions concrètes avec notamment la mise en œuvre des engagements internationaux (en particulier l’objectif de neutralité carbone pour l’aviation civile internationale à l’horizon 2050, adopté par l’assemblée générale de l’OACI en 2022) et des règlements européens (règlement ReFuelEU, règlements AFIR et RTE-T).

Parmi les points saillants, on peut noter :  

• un chapitre entier consacré aux CAD ou Carburants d’aviation durable qui constituent le principal levier de décarbonation pour le secteur aérien. Leur actualité a en effet été riche en 2024 : troisième année du mandat d’incorporation national des CAD, déclinaison en droit français du mandat européen porté par le règlement ReFuelEU, valorisation des CAD dans l’ETS et le CORSIA et soutien à l’établissement en France d’une filière de production ;
• une attention particulière portée à la prise en compte des risque climatiques, avec un travail accru réalisé dans le cadre du PNACC (Plan national d’adaptation au changement climatique) pour aider les aéroports à mieux faire face aux changements climatiques, en complément des efforts déployés pour développer l’électrification des plateformes aéroportuaires et les énergies renouvelables dans le cadre de la réglementation européenne ;
• la poursuite des efforts en matière de réduction des nuisances sonores au niveau local, avec notamment la poursuite des études d’impact selon l’approche équilibrée.

Vous retrouverez donc, dans ce Rapport 2024, la présentation de toutes ces avancées au service de la transition écologique du transport aérien, avec des exemples concrets dans les différents domaines d’intervention de la DGAC :

• le développement des CAD et la politique de soutien du secteur ;
• la décarbonation du transport aérien et la contribution du secteur à la lutte contre le réchauffement climatique ;
• la réduction des nuisances sonores ;
• l’amélioration de la qualité de l’air et de l’eau ;
• l’innovation technologique ;
• la protection de la biodiversité ;
• une meilleure prise en considération de l’environnement dans l’action administrative quotidienne du ministère dans le cadre de sa politique SPE (Service public écoresponsable).
   

Bonne lecture !