Les infrastructures de mobilité : un secteur qui recrute

Le Vendredi 7 mai 2021

Dans le cadre des Journées pour l'Accélération et la Modernisation des Infrastructures, Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, s'est rendu cet après-midi à l’École Supérieure des Travaux Publics (ESTP) à Cachan, à la rencontre d'étudiants et de jeunes actifs œuvrant dans le domaine des travaux publics et des infrastructures de mobilité.

Ce secteur joue un rôle crucial dans le dynamisme de notre pays, avec un tissu économique d’entreprises de taille très diverses, procurant un nombre important d’emplois locaux non délocalisables.

Il représente un chiffre d’affaires de 44,5 milliards d'euros[1], avec plus de 8 000 entreprises sur le territoire national représentant 300 000 emplois de plus de 80% en contrats à durée indéterminée. Par ailleurs, ces entreprises sont également fortement présentes au niveau international, où elles réalisent 33,5 milliards d'euros de chiffres d’affaires.

Travailler dans le secteur des infrastructures de mobilité, c’est :

  • être au service de tous nos concitoyens qui empruntent ces voies de communication chaque jour ;
  • inventer au quotidien, car chaque ouvrage à réaliser a ses spécificités propres ;
  • s’engager pour la transition écologique (recyclage des chaussées, bétons verts, enrobés tièdes…) ;
  • s’ouvrir de larges opportunités de carrière, tant les métiers de la filière sont divers et les passerelles nombreuses.

C’est aussi un secteur d’avenir, car les besoins d’adaptation des infrastructures aux nouveaux usages et au changement climatique, d’une part, et les besoins d’entretien et de réparation du patrimoine existant, d’autre part, continuent à croître.

Le plan France relance y contribue. Avec plus de 6 milliards d’euros pour les infrastructures ferroviaires, routières, fluviales, portuaires, et de transports collectifs, les chantiers verront une augmentation significative de leur activité en 2021 et 2022, partout dans notre pays.

Entretenir, rénover et moderniser un million de kilomètres de routes et rues, trente mille kilomètres de voies ferrées et près de sept mille kilomètres de voies navigables, c’est du travail et de nombreux emplois à pourvoir.

 

[1] Chiffres 2019

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