Bastien Guerche/Sécurité civile

Feux de forêt et de végétation

Ayons les bons réflexes

Protéger sa maison des feux de forêt, ça se prépare toute l’année !

 

Le feu est alors difficile à contrôler, car il se propage rapidement dans le feuillage des arbres et d'un arbre à l'autre, notamment lorsque les branches se touchent. La masse combustible étant très importante, le front de flammes généré est très puissant, difficilement maîtrisable et peut occasionner des dégâts importants.

Une simple étincelle peut dégénérer en un incendie nécessitant d’importants moyens de secours en moins d’un quart d’heure, surtout quand les conditions sont favorables (sécheresse, température élevée, vent...).

C’est pourquoi il est primordial de débroussailler son terrain. L'automne et l'hiver sont les meilleures périodes pour effectuer les travaux les plus lourds.

 

Consulter la FAQ sur les feux de forêt 

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Le débroussaillement, qu’est-ce que c’est ?

Le débroussaillement, c’est réduire la masse de végétaux sur un terrain en créant des discontinuités dans la végétation entre :

  • la végétation basse (herbes et broussailles) et la végétation haute (arbustes et arbres) ;
  • les végétaux d’une même taille ;
  • les végétaux et les bâtiments.

La création de ces discontinuités diminue le risque d’incendie, freine la propagation du feu et son intensité. Dans certains territoires, le débroussaillement est une obligation. Il s’agit des obligations légales de débroussaillement (les OLD). Le propriétaire est alors tenu de débroussailler les 50 mètres (voire 100 mètres sur décision du maire ou du préfet) autour de ses bâtiments (maison, abri de jardin, piscine...). Il peut s’agir de son jardin, mais aussi des terrains non bâtis de ses voisins s’ils sont à moins de 50 mètres des bâtis. Ceux-ci ont alors l'obligation d’autoriser l'accès à leurs terrains. Le refus engage leur responsabilité juridique et les opérations de débroussaillement sont alors à leur charge financièrement.

Pour répondre à toutes les questions sur ce sujet, l'ONF a rédigé une foire aux questions.

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Pourquoi débroussailler ?

Dans les zones à risque, le débroussaillement est une obligation. Il est indispensable pour :

  • limiter les départs de feux : 90 % des feux sont d’origine humaine. Lorsque la végétation est sèche, la moindre étincelle peut être à l’origine d’un incendie ;
  • protéger son habitation et les personnes qui y vivent : en cas d'incendie, il est alors possible et même recommandé de s’y abriter, sauf instruction contraire des autorités. Un confinement de 10 à 15 minutes permet de laisser passer l'incendie ;
  • sécuriser l'accès et l'intervention des sapeurs-pompiers ;
  • protéger la forêt et l'environnement : au-delà de limiter la propagation d'un incendie, réduire la masse de végétaux peut s'avérer utile pour préserver une diversité d'espèces. En effet, débroussailler permet un apport de lumière au sol, ce qui favorise notamment la création de corridors écologiques et de zones d'alimentation pour certaines espèces comme les chauves-souris et certains rapaces.

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Comment bien débroussailler ?

Le débroussaillement doit être réalisé chaque année. Il est conseillé d'effectuer les opérations de coupes d'arbres et d'arbustes plutôt en période hivernale. Les opérations sur la végétation basse peuvent, elles, être effectuées vers la fin du printemps.

Débroussaillement et biodiversité sont compatibles, notamment lorsque le calendrier des interventions est adapté à la sensibilité des zones débroussaillées. Il peut être nécessaire de faire appel à un professionnel, qui dispose des outils et connaissances nécessaires, notamment pour le premier débroussaillement.

Schéma d'illustration

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Quelles conséquences en cas de non-respect ?

Le non-respect des obligations légales de débroussaillement peut entraîner une sanction financière (allant d’une amende forfaitaire de 200 € à une amende de 50 € par m² non débroussaillé), une mise en demeure de faire avec astreinte, un pourvoi d’office par le maire (la commune fait faire les travaux et envoie la facture au propriétaire) ou encore le paiement d'une franchise d'assurance en cas de sinistre.

Outre ces poursuites, le fait de ne pas débroussailler son terrain est tout simplement dangereux : un terrain mal débroussaillé renforce le feu. Les constructions et leurs habitants sont alors en danger. Sur un terrain débroussaillé, une maison a beaucoup moins de risque de brûler.

photo OLD

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Que faire de mes déchets verts ?

Il est possible de les broyer et les enfouir, de les utiliser en compost individuel car ils sont biodégradables ou de les apporter à la déchetterie. Renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître le mode de traitement des déchets verts de votre commune, communauté de communes ou agglomération.

Suis-je concerné par cette obligation ?

 

Cliquez sur l'image ci-dessus pour savoir si votre adresse est concernée par les obligations légales de débroussaillement (zone en violet).

 

Débroussailler est une obligation dans les massifs à risque désignés par la loi ou par le préfet de département. Au sein de l'ensemble de ces départements, l’obligation légale de débroussailler s’applique pour les propriétaires d'habitation, de construction ou d'équipement de toute nature situés à l’intérieur ou à moins de 200 mètres d’un massif forestier, d’une lande, d’un maquis ou d’une garrigue. Il faut alors débroussailler sur une profondeur de 50 mètres autour ces équipements. L’obligation s’applique également dans les zones urbaines (zones U) des plan locaux d’urbanisme (PLU) situées dans les zones précitées.

 

 

Je ne suis pas concerné par l'obligation, est-ce qu'il est recommandé de débroussailler ?

Si votre terrain n'est pas soumis à l'obligation légale de débroussaillement, le débroussaillement n'est pas obligatoire mais tout de même recommandé si votre habitation est proche d'une zone boisée.

 

 

Je suis maire et je veux en savoir plus sur les obligations légales de débroussaillement

9 feux sur 10 sont d'origine humaine. Ayons les bons réflexes : une cigarette s'écrase dans un cendrier.

Comment une étincelle ou un mégot peut être à l'origine d'un incendie ?

9 feux de forêt sur 10 sont d'origine humaine, principalement moitié par imprudence.

Les sécheresses et les canicules sont de plus en plus fréquentes et intenses en France du fait du changement climatique. Lorsque la végétation est asséchée par manque de pluie, un départ de feu devient possible et peut se propager rapidement : un mégot ou un barbecue mal éteint, une étincelle lors de travaux ou de feux d’artifice peuvent être à l’origine d’un feu dans l’herbe et les broussailles. Rapidement, le feu gagne en intensité.

La vitesse de propagation dépend de plusieurs facteurs (vent, type de végétation, configuration du terrain, nature des sols, etc.). En moins de 10 minutes, le front de flammes peut parcourir un kilomètre et donner naissance à un feu incontrôlable, qui se propage et atteint les forêts, les haies, les champs, les habitations, etc. Les matériaux incandescents transportés par le vent peuvent également être à l'origine de nouveaux départs, en aval du front de flammes et parfois à plus d'un kilomètre de celui-ci.

Ayons les bons réflexes pour éviter tout départ de feu.

Renseignez-vous aussi auprès de votre préfecture. Pendant la saison à risques, l’accès et la circulation dans les bois, forêts, landes, garrigues peuvent être déconseillés, voire interdits, aux véhicules et aux piétons. Les barbecues, feux d’artifices ou tout emploi du feu peuvent être interdits. Les travaux agricoles et forestiers et les travaux pouvant générer des étincelles (broyeurs, débroussailleuses, tronçonneuses à moteur, soudeuses, etc.) peuvent être réglementés, voire interdits également. Ne pas respecter les consignes de prévention édictées par les autorités publiques expose à une amende pouvant aller jusqu’à un montant de 750 €.

En cas d’incendie volontaire, comme en cas d’imprudence, si le feu entraîne la destruction ou la détérioration d'un bien ou met en danger les personnes, l’auteur encourt des sanctions comportant amendes financières, peines de prison, et dommages et intérêts.

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Comment éviter les départs de feu ?

J'organise les barbecues sur une terrasse et loin de la végétation qui peut s'enflammer.

Feu et barbecue

J'organise les barbecues chez moi, sur une terrasse et loin de la végétation qui peut s'enflammer.

Si je fume, je dépose mes mégots dans un cendrier et je ne les jette jamais au sol ou par la fenêtre de ma voiture.

Cigarette et mégot

Je jette mes mégots dans un cendrier. Je ne fume pas en forêt.

Si j'effectue des travaux sources d'étincelles, je m'éloigne de la végétation, qui pourrait s'enflammer.

Travaux et étincelles

Je réalise mes travaux loin de la pelouse et des herbes sèches et je prévois un extincteur à portée de main en cas de départ de feu.

Que faire en cas de départ de feu ?

En cas de départ de feux, j'appelle le 112, le 18 ou le 114 (pour les personnes sourdes ou malentendantes).

Alerter

Témoin d'un début d'incendie, je donne l'alerte en appelant le 112, le 18 ou le 114 (personnes malentendantes) et j'essaie de localiser le feu.

En cas de feu, je me protège en m'enfermant dans ma maison ou un bâtiment.

Se protéger

Je me mets à l'abri dans une habitation débroussaillée en attendant l'intervention des secours. La voiture n'est pas un abri sûr car elle pourrait brûler.

Rester informé

S'informer

Je reste informé de la situation et me conforme aux consignes des secours ou de la mairie.

Comment se protéger dans son habitation en cas de feu ?

Avant l'arrivée du front de flammes, je rentre mon tuyau d'arrosage. Il me sera utile lorsque les autorités m'autoriseront à ressortir, pour éteindre les dernières braises dans mon jardin.

Tuyau d'arrosage

Avant l’arrivée du feu, je rentre mon tuyau d’arrosage. Il pourra être utile après le passage du feu pour éteindre les dernières braises.

Pour me protéger des fumées toxiques qui pourraient entrer chez moi, je couvre/ferme toutes les aérations.

Aération

Je bouche les aérations et les bas de porte pour m’assurer que les fumées toxiques et les flammèches ne puissent pas pénétrer à l’intérieur de mon habitation.

Pour me protéger des fumées toxiques, je me couvre le visage d'un linge humide.

Linge humide

Je me couvre le nez et la bouche d’un linge humide pour me protéger de la fumée.

Comment anticiper et protéger son habitation ?

Si possible, je ne stocke pas les combustibles contre ma maison : ce sont des activateurs de feu et ils représentent un risque pour ma maison en cas de feu.

Combustible

Je stocke les matériaux et produits inflammables (bois, bouteilles de gaz) dans un abri fermé, éloigné de mon habitation.

Débroussaillement

Avant l’été, je débroussaille autour de ma maison : je coupe la végétation basse et j’élague les arbres pour qu’ils ne se touchent pas. L’objectif est d’éviter que le feu n’atteigne mon habitation. Dans les zones à risque, c’est une obligation.

Certaines zones sont couvertes par un plan de prévention du risque incendie de forêt, qui régule les constructions.

Construction

Si j’habite dans une zone couverte par un plan de prévention du risque de feu de forêt, j’adapte ma maison pour ma sécurité (volet, gouttière, toiture, aération, etc.).

Je veux connaître les risques près de chez moi

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Les feux en 2022

L’année 2022 a été historique à bien des égards :

  • une sécheresse exceptionnelle en termes de durée ;
  • des températures élevées associées à des épisodes de canicule qui en font l’année la plus chaude jamais enregistrée selon Météo-France ;
  • des feux de forêt, marquants par le nombre de feux et d’hectares brûlés, leur intensité et leur répartition géographique avec des territoires rarement concernés comme la Bretagne, le Jura, l’Anjou, le Centre, etc.

Au total, 72 000 hectares d’espaces naturels ont été dévastés par les feux en 2022 (6 fois supérieure à la moyenne).

Pour tirer les conséquences de cet été, le Président de la République a annoncé un plan d'actions pour :

  • mieux prévenir les incendies : les moyens de l'ONF et de Météo-France se trouvent renforcés pour les années 2023-2024 ; une campagne de communication sur les obligations légales de débroussaillement a été annoncée ; une cartographie de la sensibilité aux incendies de forêt doit être réalisée ;
  • renforcer les moyens humains et matériels des services d’incendie et de secours ;
  • reboiser et gérer durablement avec une planification de reforestation : les grands objectifs du chantier national de replantation des forêts a été annoncé, avec la plantation d'un milliard d'arbres d'ici 10 ans (horizon 2030).
Terra - Arnaud Bouissou

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Le reboisement

La forêt joue un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique (séquestration du carbone, substitution à des énergies fossiles et à des matériaux plus énergivores, etc.) et dans la préservation de la biodiversité.

Pour amplifier son rôle de puits de carbone, l’État finance à partir de cette année la reconstitution des forêts sinistrées par les incendies : 150 millions d’euros sont mobilisés en 2023. Cette aide aux propriétaires forestiers, publics et privés, s’inscrit dans un dispositif plus large de soutien au renouvellement et à l’adaptation des forêts au changement climatique. Elle concrétise la volonté exprimée par le président de la République de planter 1 milliard d’arbres et de renouveler 10 % de la forêt française en dix ans.

L'objectif est d'améliorer, adapter, régénérer ou reconstituer les peuplements forestiers. Les peuplements sinistrés par les incendies seront éligibles. L’Ademe sera l’opérateur de ces aides au reboisement. Des critères environnementaux renforcés sont prévus pour inciter à des reboisements plus diversifiés et plus mélangés ou pour préserver les zones d’intérêt écologique.

Terra - Arnaud Bouissou

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La météo des forêts

En octobre dernier, le Président de la République avait notamment annoncé la création d’une météo des forêts destinée à mieux informer les Français sur les zones à risques.

Météo-France diffusera ce nouveau dispositif pour indiquer le niveau de danger de feux sur l’Hexagone et la Corse à compter du 1er juin 2023. Cette information sera établie à partir des prévisions de plusieurs paramètres météorologiques qui influencent fortement le départ et la propagation des feux : pluie, humidité de l’air, température, force du vent et état de sécheresse de la végétation.

La météo des forêts sera disponible chaque jour en fin d’après-midi sur le site meteofrance.com et l’application mobile de Météo-France pour les deux prochains jours, sous la forme de deux cartes (l’une pour le lendemain et l’autre pour le surlendemain). Le niveau de danger de feux sera précisé par département avec 4 niveaux de représentation (symbolisés par un code couleur) : faible (vert), modéré (jaune), élevé (orange) et très élevé (rouge).

La météo des forêts n’informera pas sur les incendies en cours ou à venir.  

Les effets du changement climatique

Des conséquences déjà visibles

Les effets du changement climatique se font déjà ressentir à travers le monde, notamment par des étés plus secs et plus chauds. Les sept dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées selon le dernier rapport de Copernicus, le service européen de surveillance du changement climatique. Selon Météo-France, l’année 2022 est la plus chaude que la France hexagonale ait enregistrée.

Chaleur et sécheresse augmentent la sensibilité de la végétation et la moindre étincelle peut alors être la cause d’une catastrophe.

 

 

Une grande partie du territoire concernée

Historiquement, la moitié sud du pays est la plus touchée par les feux de forêt et de végétation. La région méditerranéenne est l’un des 35 points chauds de la biodiversité, c’est-à-dire une zone possédant une grande richesse de biodiversité mais qui est particulièrement menacée par l'activité humaine.

Toutefois, le changement climatique accroît le risque dans de nouvelles zones comme le nord-ouest de la France (Pays de la Loire, Centre-Val de Loire et Bretagne). En 2022, la part de la surface brûlée en zone méditerranéenne était même inférieure à celle brûlée dans le sud-ouest de la France. Les feux dans les régions historiquement épargnées sont de plus en plus fréquents et gagnent en intensité.

 

 

Une période à risque étendue

Le risque feux de forêt et végétation n’est plus seulement présent l’été. Désormais, la période à risque s’étend dans l’année, débutant dès les premiers jours du printemps et se prolongeant en automne, à la faveur d'épisodes de canicule tardifs. On observe même des feux en hiver, y compris en montagne, qui ne bénéficie plus de la protection du manteau neigeux. En 2022 par exemple, les feux ont débuté très tôt suite à un hiver sec.

 

 

Et dans le monde ?

Les feux sont de plus en plus nombreux et destructeurs. Les dernières années ont par exemple été marquées par de puissants incendies de forêt dans l'hémisphère nord (Canada, États-Unis, Russie, etc), en Europe (Espagne, Portugal) ou encore en Australie. Ces feux de grande ampleur ont été à l'origine d'émissions records de dioxyde de carbone (CO2), selon le service européen Copernicus de surveillance de l'atmosphère (Cams).

Selon le 6e rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) et son volume relatif aux conséquences, à l’adaptation et à la vulnérabilité (février 2022), les conditions météorologiques sont de plus en plus propices aux incendies dans de nombreuses régions du monde.

La sécheresse : un facteur aggravant

2022 est l'année la plus chaude jamais enregistrée en France selon Météo-France. L'hiver 2022-2023 s'inscrit dans cette tendance avec une température moyenne supérieure à la normale et un manque de précipitations. Dès la fin du mois de février 2023, plusieurs départements étaient placés en état de vigilance sécheresse et d'alerte renforcée. 

La sensibilité de la végétation est donc accrue et le risque de départ de feu aussi : la moindre étincelle peut avoir des conséquences désastreuses.

Bilan régional hiver 2023. Anomalie dee températures et déficit de précipitations (référencees 1991-2020).
Météo-France

Une campagne de prévention

Après l’été 2022, marqué par de nombreux et puissants incendies, le président de la République a annoncé le renforcement de la prévention des feux de forêt et de végétation. La nouvelle campagne d’information sur les obligations légales de débroussaillement participe de cette prévention.

Le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer et le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire lancent donc conjointement des séquences de communication sur la prévention des feux, en deux temps :

  • de mars à mai 2023 puis de novembre à décembre 2023, une campagne dédiée aux obligations légales de débroussaillement, pour faire connaître cette mesure de prévention aux Français concernés et les engager à les réaliser pour leur sécurité et celles de nos forêts ;
  • de mai à août 2023, la sixième édition de la campagne nationale de prévention des feux de forêt et végétation, pour diffuser largement les bons réflexes à adopter pour prévenir et se protéger de ces feux.

Le débroussaillement, la prévention des feux de forêt et de végétation et les campagnes de prévention associées s'inscrivent dans l'objectif de préservation et de valorisation de nos écosystèmes, promu par France Nation verte.

 

 

Kit de communication : diffusez les bons réflexes à adopter

Afin de diffuser au plus grand nombre les informations à connaître sur la prévention des incendies, notamment les réflexes pour prévenir les départs de feux, un kit est à disposition de tous.

Avec ce kit de communication, vous pouvez contribuer à faire connaître les bons réflexes.

 

 

Nos partenaires

Ils sont engagés dans la campagne d'obligation légale de débroussaillement :  

 

Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité (AMF), Assurance prévention, Centre national de la proprieté forestière (CNPF), Fédération nationales des communes forestières, Fédération des magasins de bricolage et de l'aménagement de la maison (FMB), Fédération nationale des sapeurs pompier (FNSP), Fédération nationale de l'hôtellerie de plein air (FNHPA), Fédération des Syndicats de forestiers privés (Fransylva), Gîtes de France, Intercommunalité de France, Fédération des jardineries et animaleries de France, l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE), Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), Union nationale des entreprises du paysage (UNEP), Office nationale des forêts (ONF).

Ils sont engagés dans la campagne de prévention des feux de forêt et de végétation :

 

Office national des forêts (ONF), Météo-France, Office français de la biodiversité (OFB), Conservatoire du Littoral, INRAE, Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), Fédération nationales des communes forestières, Département de France (ADF), Régions de France, Intercommunalité de France, Association des maires ruraux de France, Assurance prévention, Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité (AMF), Entente Valabre, Gîtes de France, Groupe Altice Media,  Radio VINCI Autoroutes, SANEF, Radio NRJ, La Poste, Association Prévention MAIF, ADN Tourisme, Teragir, Fédération nationale de l’hôtellerie de plein air.